Cannes : ces sentiers de la gloire du cinéma français
- Studios Victorine, le décor d’une renaissance
En 100 ans, « la Cinecittà azuréenne » située sur les collines de Nice a multiplié les décors pour les plus grands noms du cinéma français et international. Mais le souvenir de Renoir, Carné, Hitchcock, Truffaut, et autre Vadim, n’empêche pas les Studios Victorine de se réinventer. Pour continuer à rayonner dans le monde comme l’emblème artistique de toute une région et de ses paysages uniques, ils se transforment en véritable lieu de vie mêlant activité cinématographique et accueil du public.
- La Cinéfondation, l’ambition des nouvelles générations
Fondée dans le sillage du festival de Cannes en 1998, la Cinéfondation détecte et accompagne de la plus belle manière les nouveaux auteurs. Une Résidence, un Atelier et un dispositif original de soutien au financement en font un levier unique au monde en faveur de la création française et internationale, dont les lauréats sont régulièrement salués dans le temple du Festival.
- La Femis, vivier d’art qui ne se dément pas
Créée en 1986, l’école de la Femis perpétue depuis l’esprit de la Nouvelle vague, en privilégiant sens artistique et ouverture sur le monde. Les aspirants aux métiers du cinéma y trouvent les moyens d’affirmer leur singularité au sein d’un établissement dont la réputation internationale n’est plus à faire.
- Kourtrajmé, une nouvelle élite par delà le périph’
Mais la Femis n’a pas le monopole de la transmission. Aux côtés du réalisateur Ladj Ly, sélectionné à Cannes, le collectif Kourtrajmé s’engage pour faire souffler un vent nouveau dans la sélection des futurs plumes et cadreurs de nos écrans. Avec l’ouverture d’une nouvelle école du côté de Clichy-Montfermeil, le cinéma français peut compter sur tous ses talents pour succéder à Audiard sur la plus haute marche.
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